Des nouvelles, très noires, très angoissantes, où la tendresse affleure souvent mais ne peut jamais arriver, laissant la violence seule se déchaîner.On trouve dès ces nouvelles l’amour de Abdel Hafed Benotman pour les mots, elles sont proches de la poésie, certaines très réalistes et quotidiennes, d’autres surprennent par une sorte de violence hallucinée.
Les Forcenés d’Abdel Hafed Benotman, Rivages/Noir, 2000, paru d’abord aux éditions Clô
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